Christelle Poublang

Créons-nous une banque de redevable ?

Oser dire « non » à une personne qui nous demande un service alors que cela ne nous arrange pas du tout n’est pas facile n’est-ce pas ?

Oser dire « non » quand on nous demande de participer à une sortie, ou à un repas alors que nous n’en avons pas du tout envie n’est pas facile non plus !!!

Dans mon éducation, il y avait cette expression qui prenait beaucoup de place. Peut-être la connaissez-vous aussi : « il faut rendre l’ascenseur ».

Ce qui voulait dire ; si on te donne un coup de main pour quelque chose ou si quelqu’un t’invite, 1) ça ne se fait pas de refuser 2) tu devras lui rendre la pareille.

L’angoisse du coup quand quelqu’un m’aidait, mon cerveau tournait à plein régime pour trouver comment j’allais faire pour me décharger de ma dette !

Lorsqu’on m’invitait le même schéma se mettait en place …payer ma dette d’invitation.

Je me suis ainsi retrouvée dans des situations où je ne me sentais pas du tout, mais alors pas du tout à ma place ! Et en plus redevable !

On pourrait se poser la question ; mais pourquoi avoir accepté de l’aide, et pourquoi avoir accepté des invitations qui te gonflaient ?

Je pourrai répondre « pour faire plaisir », ok, c’est recevable, et pourtant la réalité était surtout que j’avais peur que les autres ne m’apprécient plus, ou ne m’aiment plus.

Dans les faits, nous savons très bien que nous ne pouvons pas plaire à tout le monde, et c’est ce que l’on se dit. Pourtant à chaque fois que nous disons « oui », alors que ça crie « non » à l’intérieur de nous, à votre avis … Pourquoi ?

Bien sûr, c’est légitime de vouloir être appréciée, mais parfois à quel prix, au détriment de quoi, de qui ? J’ai fonctionné sur ce modèle pendant des années dans ma vie prof et perso. Pour constater un jour que je m’étais perdue de vue en cours de route.

Combien de fois nous nous retrouvons à donner de fausses excuses parce que nous n’osons pas dire ces 3 petites lettres ..Des tonnes !

Combien de fois sous couvert de vouloir plaire, nous n’osons pas nous affirmer ?

Bien sûr, nous pourrions alors dire « je ne veux pas blesser les autres », et pourtant est ce notre rôle de devoir faire plaisir aux autres au risque de se dénigrer ?

Est-ce que l’autre serait blessé par nos 3 lettres d’ailleurs ? On n’en sait rien !

Et si vraiment l’autre était blessé par notre « non », est-ce vraiment de notre faute, de notre ressort ?

Pensons-nous vraiment que nous avons le pouvoir de blesser l’autre par un petit mot ? Si oui, est ce que nous ne nous donnons pas trop d’importance ?

Lorsqu’on apprend à dire « non » à ce qui ne nous convient pas ou plus, nous savons alors vraiment à quoi nous disons « oui » et cela devient un VRAI OUI !

Quand vous avez envie de dire « non » et que vous dites « oui » malgré tout, vous êtes malheureusement en train de dire « non » à vous-même.

Mon enseignante n’est pas humaine !

Plutôt habituée à recevoir des enseignements de la part de formateurs , conférenciers ou auteurs , j’étais loin d’imaginer que mon plus grand maître serait ma harpe pour me transmettre des leçons de vie que j’avais ( pensais je ! ) plutôt bien intégré dans mon quotidien .

Voici 7 leçons reçues pour l’instant

[j’ai comme l’impression qu’elle en garde sous sa caisse de résonance !]

Vous aurez peut-être envie d’en inscrire quelques-unes dans votre quotidien.

1/ la première ; créer une relation de confiance avec l’inconnue. [Une personne ou une situation]

Face à l’inconnue  ce n’est pas toujours facile de faire confiance. Et pourtant quand nous avons un objectif précis en tête, nous avons aussi très souvent besoin d’interaction avec les autres. Que ce soit des pairs, des partenaires, des fournisseurs. Oui donner ma confiance dans l’autre que je ne connais pas, qui est différent de moi, qui a un fonctionnement différent du mien. Ou encore , me faire confiance dans une situation que je n’ai pas encore expérimenté et qui est  pour moi une grande inconnue…

Premier réflexe ; je ne comprends rien à sa musique, j’abandonne ! …..oui, mais…souviens toi de ton objectif et en quoi il est important pour toi. Et si tu essayais de comprendre la mélodie de l’autre, certes différente de la tienne, que pourrais-tu apprendre ?

2/ Accepter l’inconnue tel qu’elle est, sans essayer de changer quoi que soit de l’autre. Ne pas rejeter ce qui est différent de moi.

3/ Avoir l’humilité de constater que je ne sais rien de l’autre et pourtant j’ai besoin d’elle pour atteindre mon objectif. Je vais donc commencer un long apprentissage.

4/ Dans ma fougue et soif d’apprendre, j’oublie la patience et je comprends très vite que je ne pourrai pas engloutir de longs morceaux de musique. Que celle-ci exigera de moi de la patience et de la bienveillance.  Ma tendance serait plutôt de me juger de ne pas apprendre assez vite.

5/ Je vais devoir découper chaque partition de musique en tous petits morceaux, c’est ce qu’elle exige de moi et cela m’apprendra la force des petits pas.

6/ Parfois j’en ai marre de jouer les mêmes accords pour la 20ème fois, les cordes métalliques me font mal aux doigts et j’ai des cloques. Et pourtant si je ne fais pas plusieurs fois ces accords mon cerveau ne les intègrera pas. Elle veut que j’apprenne la persévérance.

7/ Et pourtant, je fais les petits pas, je joue avec elle chaque jour, et je n’ai toujours pas la mélodie souhaitée. Et là, elle me souffle à l’oreille de bien l’écouter ! Elle me suggère aussi de jouer différemment en posant mes doigts sur ses cordes d’une façon différente si je veux avoir un résultat différent. La bonne mélodie  existe déjà sous mes doigts. Je ne peux l’entendre qu’en lâchant la rigidité. Elle m’apprend l’ouverture d’esprit, l’écoute et la flexibilité.

Alors je m’incline devant autant de sagesse, et je lui dit ok apprends-moi, et là nous pouvons commencer à entrevoir  ensemble ce qui devient possible aujourd’hui.

Nos magiciens de la vie n’ont pas toujours forme humaine n’est ce pas ?

Qu’elles sont vos magiciens de la vie ?  Qu’avez vous appris avec eux ?

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Plus nos idées sont claires et précises, plus nous avons des chances de réussir

Planifier son objectif

 Nous sommes les créateurs et bâtisseurs de nos vies. Consciemment ou inconsciemment, nous organisons nos vies en fonction de nos buts et de notre idéal.

Or souvent nous nous plaignions de ce qui nous arrive parce que, en réalité nous n’avons jamais trop su ce que nous voulions vraiment. Avons-nous des objectifs précis ?

Saviez-vous que nous sommes nos vieilles pensées cristallisées. C’est-à-dire que nous sommes maintenant ce que nous pensions de nous il y a un an, deux ans, cinq ans..

Des recherches ont prouvé que le cerveau est traversé par 40 000 à 50 000 pensées par jour, au moins. Et on a établi que si seulement 1000 à 2000 étaient axées sur un objectif précis, il se réaliserait rapidement et concrètement. Imaginez le pouvoir de réalisation que nous avons en fixant des objectifs clairs.

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Se donner des commandes positives :

Un autre paramètre à prendre à compte est la façon dont fonctionne notre cerveau lorsque nous parlons d’un projet. Notre tendance pourrait être de parler de ce que l’on ne veut pas ou plus.

Si l’on compare notre cerveau à un ordinateur (bien sur notre cerveau est mille fois plus complexe qu’un ordinateur !) l’ordinateur ne prends que des ordres positifs. Je ne peux pas imposer à mon ordinateur  de ne pas me sortir tel dossier, ou tel programme. Il veut savoir ce que je veux. Et non pas ce que je ne veux pas. Il ne prend pas les commandes négatives.

Lors de ma formation en hypnose éricksonienne , j’avais été très marquée par un exemple du formateur pour illustrer le fonctionnement de notre cerveau .

Il nous avait dit ceci : « je vous demande de ne pas penser à une souris qui court après un éléphant rose, je ne veux surtout pas que vous y pensiez un seul instant. »

Qu’est ce qui s’est passé dans notre tête ? On l’a tous vu cette souris !

Revenons à nos objectifs, se fixer un objectif, c’est savoir précisément ce que l’on veut, comment on veut se sentir, ce qui important pour nous selon notre environnement, notre type de travail, nos heures de loisirs, notre réalité à chacun. En prenant en compte chacun de ces paramètres nous avons plus de chance d’atteindre nos objectifs car ils sont en harmonies avec nos priorités, nos valeurs, nos besoins.

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Se projeter pour construire nos affirmations (rappelez-vous. Les commandes positives de notre cerveau)

Une manière efficace de le faire, c’est de se projeter dans le futur et d’y penser comme si c’était déjà accompli..

Donc imaginez que votre objectif soit atteint et listez tous les bénéfices dans votre vie grâce à cet objectif atteint.

Voici l’exemple d’une de mes clientes dont l’objectif était d’avoir une meilleure image d’elle.

  • Moins stressée
  • Je dépenserai moins d’argent dans les vêtements
  • Moins centrée sur moi
  • Moins méfiante / moins critique envers moi / moins de doute / moins peur du jugement des autres / moins inhibée.

 

Vous remarquez que tous ces bénéfices sont notés de façons négatives. Pour donner des commandes positives à notre cerveau, elle a donc transformé tous ces bénéfices en phrase positives, ce qui a donné ;

  • Je suis détendue et sereine
  • Je fais des économies d’argent, car je me sens bien dans ma peau.
  • Je suis ouverte aux autres et au monde qui m’entoure
  • J’ai de bonne relation et une communication claire avec les gens de mon entourage
  • Je suis bienveillante envers moi même
  • Je suis confiance dans mes capacités de réussir
  • Je m’accepte tel que je suis aujourd’hui
  • Je m’autorise à être drôle, et plus légère
  • Je suis fière de moi

 

Une fois nos bénéfices listés, ils deviennent alors de belles affirmations et notre cerveau sait maintenant exactement ce que nous voulons. Afin de les gardez bien en vue, vous pouvez en faire une belle affiche, les noter dans votre agenda, dans votre journal, l’idée est de vous les répéter comme un mantra.

 

Avoir de belles pensées et des affirmations positives est une super étape.

 

Entre la pensée et le résultat, le lien c’est l’action. Et y aller étape par étape.

Parce que tous ces bénéfices, ce serait dommage d’attendre de réaliser l’objectif pour les obtenir, ou de croire qu’il faut faire de grands efforts pour les mériter. Parfois installer dans sa vie les bénéfices, c’est ce qui réalise l’objectif !

Cette question nous sera alors très utile : «  qu’est-ce que je peux faire de différents ou quelles nouvelles habitudes je peux mettre en place pour être détendue et sereine ? (si je reprends l’exemple de ma cliente)

Et ainsi de lister pour chaque bénéfice, une petite action ou une nouvelle petite habitude à mettre en place. Parfois il arrive qu’une nouvelle habitude agisse à plusieurs niveaux sans que nous l’ayons au départ identifié pour autant. Vous en ferez certainement la découverte en pratiquant une nouvelle façon de faire.

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Se donner du temps

On ne tire pas sur les fleurs pour les faire pousser !

Parfois on aimerait que les choses s’accomplissent comme par miracle, du jour au lendemain !

Comme ce serait bien d’avoir une baguette magique …

La réalité est tout autre. Atteindre un objectif demande patiente, réflexion, réalisme, discernement. Cependant il y a un aspect positif dans cette démarche ; car si nous prenons le temps de la réflexion, savoir ce que l’on veut, bien cibler notre cerveau et avoir de la bienveillance pour soi-même, il y a de fortes chances que nous réussissions notre projet à long terme.

Être ouverte aux opportunités

J’ai déjà entendu dire plusieurs fois, (et peut être vous aussi) que l’Univers, Dieu, la Source (ou quel que soit le nom que vous pourriez donner)  pourrait avoir pour nous un plan beaucoup plus grand que ce que nous planifions. Je ne sais absolument pas si cela est vrai et si j’ai envie d’y croire. Je me donne juste le bénéfice du doute et je prends cela comme hypothèse de travail.

Donc il peut être pertinent d’avoir un objectif précis sans pour autant être obtus aux autres possibilités que nous n’avions pas imaginé.

C’est-à-dire être également réceptive aux opportunités que nous n’avions pas planifiées.

Sur ce, je vous souhaite une excellente année 2017 ainsi que de beaux objectifs pour cette nouvelle année.

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Si vous souhaitez rejoindre la prochaine session des ateliers oser [enfin !] être à sa place, voici le programme : il vous suffit de cliquer sur le lien

Oser être à sa place

Si vous souhaitez une séance découverte de coaching en individuel avec moi le lien est ici :

Contact

Et si vous avez des questions concernant les ateliers, vous pouvez me contacter à l’adresse suivante :

contact@christelle-coaching.com

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L’année se termine, une page se tourne

 

 

Cette page c’est mon aventure avec le défi d’arrêter de râler sur mes enfants en mon conjoint. Défi commencé fin 2013 et qui a pris fin sans que j’en m’en aperçoive (=une  nouvelle habitude qui été devenue comme normale) dans le courant du mois de mars 2014. Cette page c’est également les ateliers animés, les conférences, les rencontres avec vous et d’autres parents, des fous rire (= certaines phrases me restent en tête et me font encore sourire aujourd’hui), deux émissions radios, des articles dans la presse locale, le travail aussi avec mes collègues du réseau sans oublier bien sûr Florence Leroy et Christine Lewicki deux femmes inspirantes et qui ont eu l’idée de génie d’écrire le livre.

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En prenant le temps de résumé ce parcours, je me dis quelle belle et magnifique aventure !!! J’ai partagé mon expérience avec certaines d’entre vous et j’ai aussi tellement reçu ! Tout cela est précieux et je suis pleine de gratitude. En 2013,  j’ai fait le choix de rejoindre le réseau de J’arrête de râler sur mes enfants  { et mon conjoint } car le message résonnait parfaitement avec mes convictions profondes qui est celle que l’on est responsable de sa vie , et que l’on a toujours le choix .

Merci à mes parents qui m’ont élevé dans cette dynamique et m’ont ouvert la voie , eux qui étaient des enfants orphelins , qui ont  eu des métiers de labeurs , ont connu la maladie et qui se tenaient malgré tout debout , définitivement orientés solution plutôt que problème …le credo de ma maman étant de commencer ses phrases par … « enfin la bonne nouvelle c’est que ……. »

Ce message, je le transmet du mieux que je peux dans mes formations en entreprise et organisme de formation.

Je quitte donc le réseau de j’arrête de râler sur mes enfants { et mon conjoint } et non pas du message que je porte dans mon cœur ! afin de consacrer et concentrer mon énergie sur l’atelier Oser [enfin !] être à sa place qui a vu le jour cet été. Le contenu de cet atelier est une synthèse de mon propre cheminement professionnel et personnel.

Vous trouverez ici le contenu :

Oser être à sa place

Ainsi que quelques témoignages :

Témoignages

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une excellente fin d’année, et peut être aussi de pouvoir vous retrouver sur la page FB de coaching & Formation.

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Encore un grand merci pour votre confiance, je vous souhaite le meilleur pour vous et vos familles respectives.

Bien à vous tous,

L’ANNÉE SE TERMINE, UNE PAGE SE TOURNE !

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Cette page c’est mon aventure avec le défi d’arrêter de râler sur mes enfants et mon conjoint. Défi entrepris fin 2013 et qui a pris fin sans que je m’en aperçoive (une  nouvelle habitude qui été devenue comme normale) dans le courant du mois de mars 2014.

Cette page c’était également les ateliers animés, les conférences, les rencontres avec vous et d’autres parents, des fous rires (certaines phrases me restent en tête et me font encore sourire aujourd’hui), deux émissions de radio et des articles dans la presse locale. Mais aussi le travail avec mes collègues du réseau, sans oublier bien sûr Florence Leroy et Christine Lewicki, deux femmes inspirantes qui ont eu l’idée de génie d’écrire le livre.

En prenant le temps de résumer ce parcours, je me dis quelle magnifique aventure !!! J’ai partagé mon expérience avec certaines d’entre vous et j’ai aussi tellement reçu! Tout cela est précieux et je suis pleine de gratitude.

En 2013, lorsque j’ai fait le choix de rejoindre le réseau de J’arrête De Râler sur mes Enfants et mon Conjoint, le message résonnait parfaitement avec ma conviction profonde qui est que l’on est responsable de sa vie et que l’on a toujours le choix. Pour cela, merci à mes parents qui m’ont élevé dans cette dynamique et ouvert la voie, eux qui étaient des enfants orphelins, qui ont  eu des métiers de labeur, qui ont connu la maladie et qui se tenaient malgré tout debout, définitivement orientés solution plutôt que problème … le credo de ma maman étant de commencer ses phrases par « enfin la bonne nouvelle c’est que … »).

Ce message, je le transmets du mieux que je peux dans mes formations en entreprises et organismes de formation.

Je quitte donc le réseau de J’arrête De Râler sur mes Enfants et mon Conjoint et l’environnement de la parentalité (et non pas du message que je porte dans mon cœur!) afin de consacrer et concentrer mon énergie sur l’atelier Oser [enfin !] être à sa place qui a vu le jour cet été . Le contenu de cet atelier est une synthèse de mon propre cheminement professionnel et personnel.

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vous trouverez ici le contenu de cet atelier:

http://christelle-coaching.com/oser-etre-a-sa-place-2/

Ainsi que quelques témoignages:

http://christelle-coaching.com/temoignages/

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une excellente fin d’année en souhaitant vivement vous retrouver très bientôt sur la page Facebook de Coaching & Formation.

Encore un grand merci pour votre confiance, je vous souhaite le meilleur pour vous et vos familles respectives.

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Comment me sentir bien quand l’environnement dans lequel je travaille est sous tension ?

Nous passons un temps considérable au boulot et parfois la pression est énorme.

La pression des objectifs à atteindre, de la hiérarchie, des commerciaux, des clients, les attentes de l’équipe, et même de nos collègues.

Le besoin de reconnaissance est un besoin fondamental qui contribue à la motivation personnelle, collective et au bien-être de tous. Mais pris dans l’urgence des tâches à accomplir, nous oublions ce paramètre. Or, une fiche de paie ne fait pas tout et ne comble pas ce besoin.

Très souvent, nous avons un niveau d’insatisfaction assez élevé envers nos réalisations de la journée. Notre conscience professionnelle qui peut être gloutonne nous souffle à l’oreille que ce n’est jamais assez. Et c’est ainsi que nous ne voyons plus que le dossier non terminé, les commandes non bouclées, les clients à rappeler, les mails restant à envoyer, les objectifs loin d’être atteints ! Ne voyant plus que cela, nous perdons de vue ce qui est positif dans notre poste, et dans nos tâches accomplies. L’inconvénient en agissant ainsi est que nous pouvons, sur le long terme, nous épuiser, tomber dans l’insatisfaction, perdre le sens de notre rôle dans l’entreprise, finir par manquer de confiance en nous et enfin, perdre notre motivation.

MA PROPOSITION : METTRE EN PLACE UNE HABITUDE DIFFÉRENTE

«  La folie, c’est de se comporter de la même manière et de s’attendre à un résultat différent » Einstein.

Une habitude différente pour obtenir un état d’esprit différent, plus positif et donc forcément un mieux-être malgré la pression environnante. Lorsque nous avons le sentiment que les choses sont particulièrement difficiles, et qu’elles se cumulent, la REVUE POSITIVE permet de revenir à une bonne évaluation des choses et de prendre du recul.

Comment se pratique-t-elle ?

Pour ce faire, je vous invite à vous procurer un joli cahier ou carnet et à commencer dès aujourd’hui.
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L’obstacle que vous pourriez rencontrer en faisant cet exercice est la difficulté à identifier ce qui est positif et votre contribution à l’aboutissement de cette réussite.

Antidote pour dépasser ce blocage :

« Ne pas reconnaître ses réussites, c’est de la fausse modestie » Dalai lama

Ça peut être aussi de développer plus de bienveillance envers nous-mêmes, et d’avoir l’humilité de reconnaitre que oui, il y a des tas de choses que nous faisons bien !

Vous pourriez aussi réaliser cet exercice en faisant la revue positive de votre année 2016, une bonne façon de clôturer votre année en étant fier(e) de vous et sur une note positive !
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     Si vous le souhaitez, rejoignez l’atelier

Oser [enfin !] être à sa place

qui aura lieu les samedi 28 avril / samedi 13 mai / samedi 27 mai 2016

(Il reste encore 4 places à ce jour)

Trois jours pour se réconcilier avec soi, avoir une communication claire,  faire preuve de discernement, vivre selon ses valeurs, se reconnecter avec la créativité et être sur le chemin de sa propre aventure.

Pour en savoir plus sur le programme, ça se passe ici :

Oser être à sa place

Ce qu’en disent les participants :

Témoignages

Et si vous avez des questions, je vous invite à me contacter directement par mail:

contact@christelle-coaching.com

Je serai ravie de vous répondre.

Je vous souhaite d’excellentes fêtes de fin d’année !

 

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Bien à vous.

Chercher des preuves qui soutiennent votre vision

« Là où tu portes ton attention, l’énergie jaillit » A. Robbins.

 Nous pouvons focaliser notre attention sur le malheur, la douleur, l’échec, la violence, les rapports de forces, la bêtise, les erreurs, les manques, les complexes, les émotions négatives, le stress, les lâchetés, la peur, le mensonge, la dépendance, l’infantilisation, la déresponsabilisation, l’égocentrisme, la complaisance, la colère, la critique, l’envie, l’impatience, le désordre, l’obsession, la jalousie, le cynisme, la mégalomanie, etc.., toutes ces « tares » relevant bien sûr des « autres »,  déplorer la médiocrité de l’espèce mais voilà, ça ne semble pas être très inspirant, nous laisse abattus et avec un sentiment d’impuissance, ce n’est pas très constructif. De plus, nous collectionnons très souvent des preuves pour soutenir ce point de vue.

Or une des clés pour arrêter de nous sentir victime est de chercher des preuves, n’importe lesquelles, qui soutiennent la vision de la vie que vous voulez être vraie pour vous.

Car nous pouvons tout aussi bien choisir de focaliser notre attention sur la formidable force de vie humaine, notre manière de nous transmettre savoir-faire et savoir- être, expérience, recueil et synthèse de nos recherches et des avancées de notre intelligence, de nos prises de conscience, se brancher sur la créativité, la bonté, l’espérance, la bonne volonté, la générosité, le bien être, le savoir vivre avec soi et avec l’autre, le respect, l’écologie, la confiance , l’humilité, la réussite, la coopération, le dialogue, les possibilités de douceur, le sourire, la pacification.

Bref cherchez des preuves qui soutiennent votre vision 😉

 

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De belles rencontres lors du salon HARMONY ZEN !

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On passe à l’action ?

Ce titre nous invite à cesser de prétendre.

Assez d’analyses sans fin , d’excuses, de victimisation , de piétinements , de diversions , ect. Ce qui va faire évoluer les choses , c’est de se mettre en action !

Nous soupirons souvent après cette vie rêvée que nous appelons des vœux.
Qu’attendons nous alors pour assumer nos désirs et mettre en œuvre nos projections et nos intentions.

Le changement , chacun dit le vouloir….et pourtant .
Cesser de se soustraire à l’action pour enfin se lancer dans la réalisation d’un projet , dans cette réalisation de soi aussi finalement , permet de nous renseigner sur la validation de nos désirs.

Sont -ils réellement générateurs de bien être ?

Pour que ce changement arrive , il va falloir le décider , et le mettre en chantier.

Certaines questions se posent déjà :

– Qu’est ce qui fait que vous désirez changer ?
– Pour quels bénéfices ?
– Quelles sont les actions qui , si vous les faisiez , changeraient votre vie ?
– Qu’est ce qui ferait une réelle différence , là tout de suite ?

L’idée que nous nous faisons des choses et des évènements de notre vie , de ce qui peut se passer , influence notre inconscient. Celui ci reçoit ces messages et déclenche un processus de sélection d’informations pour choisir les les éléments importants qui reflèteront les scénarios imaginés.

Pensez à ce que vous voudriez réaliser VOUS , au lieu d’être victime des idées des autres ou des évènements.

Soyez votre propre prophète…de bonheur !

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JE DÉCIDE DE CHOISIR OÙ JE PORTE MON ATTENTION !

Hier soir je me réjouissais de jouer ce petit morceau de harpe au piano bar organisé par l’école de musique de ma ville.  Or, voici ce qu’il s’est passé et comment j’ai décidé de me gâcher ce plaisir.

Selon le programme, les harpistes passaient à la fin.  Je savoure d’écouter tous ces musiciens talentueux, quand tout à coup une petite voix se fait entendre : « de quoi t’auras l’air avec ton petit morceau de débutante ? »

Et là, je n’avais plus qu’une envie, celle de rentrer chez moi.
Lorsque mon tour est venu, j’ai eu beaucoup de difficulté à me concentrer, pour 2 raisons : la petite voix saboteuse qui avait pris trop de place et je ne pensais pas à la note que je jouais mais toujours à la suivante !

Voici la pépite que je retire de cette expérience : je décide de choisir où je porte mon attention !

Avez vous déjà vécu une expérience similaire ?
Qu’avez vous appris de cette expérience ?

Cliquez sur le lien ci-dessous pour découvrir le morceau de harpe en question

https://www.facebook.com/christelleformationetcoaching/videos/1405195296164023/